En bref :
Liszt et Verdi sont exactement contemporains mais n`ont pas du tout suivi la même voie.
Il faut croire que l`opéra a quand même manqué à Liszt qui réalisa plusieurs paraphrases pour piano de partitions du grand Giuseppe.
Les deux compositeurs restent pourtant ici dans leur domaine respectif. Une occasion pour Alessandro Moccia de diriger « dans son arbre généalogique » et Vanessa Wagner d`éveiller la lisztienne qui dort en elle...
Vanessa Wagner, pianoforte
Orchestre des Champs-Elysées
Alessandro Moccia, premier violon et direction
Liszt : Malédiction pour piano et cordes ; Bénédiction de Dieu dans la solitude
Verdi : Quatuor, version pour orchestre à cordes